Ami de Goethe, figure emblématique du romantisme allemand, Jacob Lenz sombre dans la folie durant l'hiver 1778. C'est ce passage violent qu'évoque le récit de Christian Birgin. Celui-ci, dans la lignée du pasteur Oberlin et de Georg Büchner, se fait à sa façon le témoin passionné d'une vie désemparée et vouée à l'irrémédiable. Voyez, semble-t-il nous dire, votre propre douleur, voyez comme votre invivable désir de consoler le monde vous laisse incertains entre le blasphème et le mutisme de l'effroi. Car l'histoire de Lenz, le fou magnifique, met à nu l'insatiable faim de vérité qui habite tout un chacun et le désespère <
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