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Un diplomate français, lecteur de Céline et de Pessoa, se retrouve nommé à Tripoli peu après la chute de Khadafi. C’est le printemps libyen, presque l’euphorie : les droits de l’homme et la démocratie semblent triompher. Mais très vite les katibas vont s’emparer du pouvoir et devenir de redoutables mafias opposées au gouvernement. Emmanuel Rimbert, dans ce récit littéraire, nous raconte cette Libye au jour le jour. Comme un hétéronyme éberlué de Pessoa, il déambule dans les rues de Tripoli où il photographie les graffitis peints par le peuple libyen. Il y voit à la fois, comme des caricatures, l’histoire contemporaine de la Lybie mais aussi l’humour et les désespoirs de la population. La situation se durcit, l’auteur manque de mourir dans un attentat. L’Ambassade de France devient un camp retranché. La solitude et l’exil piquent le cœur. Mais on découvre aussi dans ce texte la vie quotidienne d’un diplomate dans un pays en crise. On y voit défiler ministres et président de la République. Emmanuel Rimbert décrit avec subtilité et précision le basculement de la Libye, d’une terreur à l’autre, et l’aveuglement des chancelleries occidentales.