Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
La violence à New York. Parlons-en. L’autre nuit je rentrais, assez tard, et me présentais devant l’immeuble dans lequel je suis logé. Il y a peu de locataires à cette adresse. Un homme d’une cinquantaine d’années est arrivé un peu avant moi près de cette porte. Il venait d’y introduire sa clé. Voyant que j’avais l’intention d’entrer il a retiré cette clé, m’a laissé la place et m’a dit : “Allez-y, ouvrez vous-même”. Ça voulait dire : “Puisque vous voulez entrer vous devez bien avoir une clé”. J’en avais une. J’ai ouvert, je l’ai fait passer devant. Il a commencé à monter l’escalier et, très vite a accéléré le pas. J’ai fait de même. Je lui collais aux talons. Il s’est arrêté au quatrième. J’allais au cinquième. Il fallait voir la vitesse à laquelle il est entré et a verrouillé à l’aide de ses trente-six loquets. Avec Berroyer en ville, les rues ne sont pas sûres à New York.