Journal des derniers jours de mon père
Issa (1763-1828) est considéré comme l'un des trois plus grands maîtres du haïkaï. Ses poèmes sont appris
par tous les écoliers du Japon. Au cours de sa vie, il a écrit plus de 20 000 haïkus, des centaines de tankas,
et plusieurs journaux haïbuns.
Extrait de la préface de Monique Leroux Serres
Le journal d'Issa, fin calligraphe, articule prose et poésie, s'éclaire des blancs de la page. Ses pinceaux disent sa sensibilité aux premiers matins, à l'avant du temps, au silence. [...] Le haïku est ponctuation de ce temps paradoxal, qui est compté, et qui ne passe guère. Il est enracinement dans ce qui se tient là, quand son père n'est plus.
Extrait de la postface de Françoise Kerisel
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