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Pour la première fois traduit en français, le Journal de Gerard Manley Hopkins nous révèle la face la plus intime de ce grand poète. Couvrant les années centrales de sa vie, on y perçoit des aspects divers et parfois surprenants de sa personnalité. Le dessinateur de talent, qui tout au long de ce parcours nous livre ses dessins et croquis. Le littérateur bien sûr, aussi doué à composer en latin ou en grec qu’à manier les langues modernes. L’amoureux de la nature aussi, capable de la contempler et de l’admirer dans ses détails les plus infimes, et prêt à se faire le héraut de ce que nous nommerions aujourd’hui l’écologie. Le chroniqueur de son époque, qui ne reste pas insensible face aux drames qui secouent le monde, que ce soit la guerre francoprussienne de 1870 ou la Commune de Paris. L’esthète, enfin, qui s’intéresse à tous les arts et sait se montrer un critique subtil. Un ouvrage qui témoigne d’un amour de la vie, d’une ouverture et d’une rare sensibilité. Traduction, notes et présentation de Bruno Gaurier. Fils aîné d’une famille de la bourgeoisie anglicane, Gerard Manley Hopkins (1844-1889) se convertit dans sa jeunesse au catholicisme avant de devenir jésuite et d’être ordonné prêtre. Il vécut les dernières années de sa vie à Dublin où il enseignait les lettres, le latin et le grec. On lui prête ces mots au moment de sa mort : « I’m so happy, I’m so happy ! »