Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Dans le Sud-Est asiatique, les quatre grandes puissances de notre temps se trouvent directement engagées, face à face, ou côte à côte. L'accès aux multiples richesses de la zone, l'importance de son marché, le maintien d'un libre passage des détroits de Malacca : tout converge pour conduire la Chine, le Japon, les États-Unis et l'URSS à élaborer une stratégie. Pour les uns, il y va de leur sécurité, pour d'autres, de l'équilibre des forces à l'échelon de la planète. L'auteur s'efforce de suivre, pas à pas, depuis 1969 - année où s'esquissent le retrait des Américains et leur rapprochement avec les Chinois - les actions et les réactions des quatre "Grands". Leur marge de manœuvre dépend de leur "Jeu de quatre", mais aussi des divergences ou des solidarités qui existent, se développent ou s'atténuent entre les dix pays qui font le Sud-Est asiatique. Il s'agit de démêler l'écheveau. Depuis 1979, lorsque le Viêt Nam - déjà assuré de son contrôle sur le Laos - l'étend au Cambodge, l'avenir de la région dépend de la « question du Cambodge ». Fait accompli pour Hanoï et Moscou. Fait inacceptable pour les Chinois et la très grande majorité des capitales, asiatiques ou non. Quel avenir pour le Sud-Est asiatique ?