Et si Jésus n'avait pas été crucifié ?
Et si une autre personne que lui, à sa ressemblance, avait été mise en croix ?
C’est à l’étude de cette hypothèse originale, selon laquelle Jésus aurait échappé à la crucifixion, que le présent essai est consacré.
Cette thèse, partagée par certaines communautés chrétiennes des premiers siècles de notre ère et affirmée avec force par la révélation coranique, trouve ici un nouvel écho où se mêlent études historiques et réflexions théologiques.
Le kérygme (du grec ancien κήρυγμα / kérugma, « proclamation à voix haute », de κῆρυξ / kêrux, le « héraut ») désigne, dans le vocabulaire religieux chrétien, l'énoncé premier de la foi, la profession de foi fondamentale des premiers chrétiens.
Il se compose de trois énoncés essentiels :
1. Jésus-Christ est le Messie, le Fils de Dieu ;
2. il est mort et il est ressuscité, et celui qui parle en rend témoignage personnellement ;
3. il appelle à la conversion.
On le voit, le Kérygme repose sur l'annonce de la mort et de la résurrection du Christ. Or, les conclusions du livre de David Allouche affirment très précisément la même chose. Il convient donc de se pencher sur cet essai avec sérieux et sérénité, en dehors de toute prétention polémique.
Bien qu'indépendant, ce second essai trouve sa complémentarité dans un premier : Jésus, le messie des Juifs.
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