Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
« La main de la mère qui saisit un oreiller blanc et l’applique sur le visage du nourrisson… » Cette scène d’une violence absolue obsède la narratrice, le docteur Selma Moufid, sans qu’elle comprenne si c’est un fantasme ou si cela a eu lieu. Cette image occultée depuis l’enfance va entraîner Selma dans son désert natal et lui faire revivre des moments qu’elle voulait oublier. C’est avant tout la relation à sa mère que ce roman met en question. Il s’agit de combattre de vieux fantômes et de comprendre pourquoi la culpabilité a inhibé le souvenir pendant tant d’années. Selma raconte les voyages qu’elle a entrepris pour enfin parler avec sa mère, pour tenter de briser le silence. Cette confrontation la renvoie à une réalité cruelle : si sa génitrice n’est qu’une pâle figure de Médée, d’autres femmes l’ont précédée dans ce rôle qu’elles s’évertuent à perpétrer pour ne pas enfreindre les tabous qui les ligotent… Un roman très fort de Malika Mokeddem où, pour la première fois, elle analyse la relation avec sa mère dont elle fait un ressort romanesque extrêmement émouvant.