«plus on avance vers l'incultivé
plus la nature force l'homme»
Dans Jardins, publié en 1998, F.F. tournait autour
de la maison de ses parents, avec mélancolie,
faisant l'inventaire des restes d'automne, tentait de
faire disparaître le «je».
Jardins de riens décrit minutieusement
trois moments :
un jardin dans la ville,
une promenade jusqu'au verger,
la tombée du jour au moment d'une éclipse.
Ces très courts poèmes rendent sensibles les
végétaux, les fruits, les insectes, qui se superposent
aux bruits du monde.
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