Il y avait un jardin
Au temps de Jésus, les femmes n'ont pas la parole, elles sont un simple élément du décor. Pourtant, le Fils de Dieu les regarde, les voit, leur parle et en fait même des « disciples ».
Il marche, elles le suivent. Il parle, elles l'écoutent. Et inversement. Elles ont besoin de lui ? Il s'approche. Ensemble, ils dialoguent.
Jusqu'à la fin, connues ou anonymes, avec une foi humble et insistante, elles sont présentes : des femmes qui pleurent au passage du Christ sous le poids de la Croix, qui sont au pied du gibet, jusqu'aux porteuses d'aromates du dimanche matin à qui l'ange annonce que la promesse est tenue, que le Christ est ressuscité, et elles croiront.
Les hommes ont largement commenté la Semaine sainte. Pourtant, il y a une façon féminine d'approcher le Christ - avec liberté -, de parler d'amour, de pardonner, d'ouvrir les bras à ce qui vient de fragile, d'agréable et de désagréable.
Marie-Laure Choplin, Anne Ducrocq et Laurence Nobécourt se sont penchées de toute leur foi, avec leur écriture forte et personnelle, sur les trois jours du Triduum pascal. Trois jours - saints entre tous - où le chrétien est invité à quitter sa « petite biographie » pour n'être plus que disciple.
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