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Même si elle a fait l'objet de nombreux commentaires déjà, un mystère plane encore sur la conversion au catholicisme de Joris-Karl Huysmans (1848-1907). L'homme, certes, se convertit, mais qu'en est-il de l'oeuvre ? Un grand écrivain peut-il en même temps être un bon converti ? En d'autres termes encore, comment gérer deux vocations, deux parcours dont le moins que l'on puisse dire est qu'ils sont difficilement compatibles ? A travers documents personnels et oeuvres littéraires nous essaierons de retracer le trajet particulier d'un écrivain « décadent » qui renoue avec Dieu. Nous aurons à nous pencher plus précisément sur ce que nous appellerons un mélange bizarre de fidélité à soi-même et de volonté de rupture, mélange qui, croyons-nous, est au coeur d'une problématique qui n'a pas eu l'attention qu'elle mérite. Lacune à laquelle nous voulons remédier ici. Peut-on brûler ce que l'on a adoré ? Quelque chose, semble-t-il, condamne l'écrivain à revenir toujours à ses anciennes amours. Huysmans, de ce point de vue, est l'homme qui n'a pas vraiment su faire peau neuve.