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Jean Renault, artiste peintre, prend la plume, et la prend bien, pour dénoncer l’absence d’explications sur la mort de sa fille Geneviève, décédée dans un hôpital à la suite d’un examen banal. Une lettre d’amour, un cri de rage qui pourrait, hélas, être notre cri à tous. Jean Renault nous interpelle pour ne plus laisser le silence absorber la mort ; ce silence qui rend la mort d’un être cher encore plus insupportable, encore plus inacceptable. Jean Renault œuvre utilement en posant des questions qui empêcheront une banalisation de la mort hospitalière. Ces femmes et ces hommes qui, par leur métier, connaissent le plus souvent — et devraient pouvoir expliquer — les causes de morts dans lesquelles ils détiennent une part de responsabilité peuvent-ils conserver, dans de telles circonstances, leur tranquillité d’esprit ? La partie intitulée « Les pièces du dossier » coordonnée par Chloé Radiguet, journaliste, co-auteur de « L’Explorateur Nu », présente chronologiquement les faits pour que le lecteur trouve les éléments indispensables à la compréhension de ce problème qui nous concerne toutes et tous. Après cet ouvrage, l’hôpital, enfin, ce n’est plus tout à fait le silence.