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Les œuvres de Claude Aveline paraissent, à première vue, très diverses : des romans, probablement plus ou moins autobiographiques comme la trilogie de « La vie de Philippe Denis », des nouvelles et même des romans policiers et des poèmes, une pièce de théâtre, des essais tels que celui sur la religieuse portugaise, « Et tout le reste n’est rien », dont le plus récent est « Le haut mal des créateurs ou Le complexe d’un siècle inexistant » (1973), des récits de voyages, des livres pour enfants, des œuvres audiovisuelles parmi lesquelles il faut citer une adaptation personnelle de « L’abonné de la ligne U » en quarante épisodes. Enfin, des critiques de cinéma. Mais Claude Aveline est aussi un peintre, même s’il y est venu assez tardivement puisque ce n’est qu’en 1968 qu’il a découvert l’usage des crayons-feutre, en noir et en couleur. Cependant, la diversité de son œuvre, de ses intérêts, de ses activités est plus apparente que réelle, et l’on pourrait citer, sans y changer une ligne, à propos d’« Hoffmann Canada », ce qu’écrivait de lui Louis Martin-Chauffier : « Que ce clair écrivain, classique dans sa forme, libre dans sa pensée, rigoureux dans sa composition, et chez qui l’extrême subtilité ne tourne jamais à la confusion, montre un goût des plus marqués pour des histoires fantastiques qui défient la droite raison, cette dérivation n’est surprenante qu’en apparence. Si la donnée en est absurde, et la fin déroutante, tout le récit se déroule avec une logique qui introduit le naturel dans l’irréel, et égare d’autant mieux le lecteur qu’on le promène dans le mystère par des voies si bien tracées, si familières qu’il oublie qu’elles sont sans issue. » Comme toute œuvre de valeur, le but ultime de celle-ci est d’exprimer l’indicible : lorsque Jean Lescure l’estime tout occupé de la recherche d’un salut, il a sans doute raison.