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La séduction a eu longtemps en psychanalyse une odeur de soufre, d’où le refoulement de sa théorie par Freud lui-même et par ses disciples. Affaire de sexualité, par définition, la séduction a, comme le montre l’auteur, partie liée avec le secret. Aussi, le fait de le dévoiler ne pouvait que confronter Freud à une série de problèmes tant personnels que scientifiques, le conduire à remanier ses découvertes et finalement à abandonner sa fameuse neurotica. Les femmes psychanalystes ont-elles été plus téméraires que Freud ? Abordèrent-elles différemment ce sujet brûlant ? Ayant interrogé Melanie Klein, Helene Deutsch et Marie Bonaparte, l’auteur constate, contre toute attente, que finalement elles n’allèrent pas plus loin que lui, malgré une volonté commune de dédramatiser ce sujet. Comme lui, elles éprouvèrent les mêmes résistances à explorer les composantes sexuelles du maternage et de l’imaginaire féminin, surtout quand cette exploration atteint le rapport le plus intime : la femme avec elle-même, la fantasmatique du sein, et le risque aussi de remettre en cause l’image idéalisée de la maternité. L’auteur termine cette Histoire secrète de la séduction sous le règne de Freud sur un rappel de la théorie de la séduction originaire développée depuis par Jean Laplanche, dans laquelle le sein en tant que signifiant énigmatique trouve la place qui est la sienne dans la sexualisation du petit d’homme et sur une illustration littéraire de la séduction généralisée.