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Ce livre, vendu à plus de 65 000 exemplaires depuis sa réédition en 1967 dans la " Petite collection Maspero ", reste un grand classique. Son auteur, acteur et témoin de la Commune de Paris, se mit au travail au lendemain de la défaite et ce travail dura vingt-cinq ans. Il a enquêté avec acharnement auprès de tous les survivants, dans l'exil à Londres, en Suisse, puis consulté tous les documents disponibles à l'époque.Le résultat est cette " somme ", qui n'est pas seulement un récit historique événementiel, de l'insurrection à la répression : elle est un tableau de tous les courants de la pensée sociale, de tous les affrontements internes, un bilan des réalisations ou des tentatives, " mesures éparses, tôt dispersées au vent de la lutte et des divergences, mesures significatives pourtant ", qui caractérisent, pour Jean Maitron, cette Commune qui fut " un trait d'union plutôt qu'une coupure dans l'histoire du mouvement ouvrier français "." La dernière barricade des journées de Mai, écrit Lissagaray, est rue Ramponneau. Pendant un quart d'heure, un seul fédéré la défend. Trois fois il casse la hampe du drapeau versaillais. Pour prix de son courage, le dernier soldat de la Commune réussit à s'échapper. " La légende veut que ce dernier combattant anonyme ne fut autre que Lissagaray lui-même : tant il est vrai que chez lui la modestie de l'historien va toujours de pair avec la ténacité et l'intransigeance du militant.