Jacques Gaillot et Guy Riobé, deux évêques séparés par une génération, deux hommes bien différents, mais dont les intuitions et les convictions ne sont pas sans consonances, sans concordances. Ce sont ces correspondances que les «portraits croisés» esquissés par Jean-Marie Muller font apparaître.
Si leurs paroles et leurs actes ont retenti si fort dans toute la société, c'est, pour l'auteur, parce qu'ils ont pris, dans la liberté de l'Évangile, le risque d'une parole personnelle qui affronte l'événement et réponde aux défis de ce temps.
«Ils ont alors surpris, étonné, souvent scandalisé, mais plus souvent encore ils ont apporté un peu d'espérance, un peu de sens à ceux qui sont trop éprouvés par la rudesse de leur existence.»
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