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Gustave Flourens (1838-1871) commença à 25 ans une carrière d'universitaire, d'anthropologue, avant de de se consacrer à la lutte contre le régime de Louis Bonaparte et pour l'établissement d'une « République sociale et universelle ». Exilé, rallié à l'insurrection crétoise contre la domination turque puis revenu en France, il mena une guerre des mots inlassable, comme journaliste, publiciste et orateur, contre le régime despotique de Napoléon III. Défenseur des idéaux révolutionnaires et d'un projet collectiviste, prophète de « l'égalité », il s'identifia, bien avant les soubresauts de l'affaire Dreyfus, avec la figure de l'intellectuel républicain. Par son souci constant de l'action et sa volonté d'organiser l'insurrection, il fut aussi un intellectuel révolutionnaire, qualifié par Victor Hugo de « chevalier rouge ». Après l'effondrement du Second Empire, élu à la tête de cinq bataillons de la garde nationale, il devint le « héros » de Belleville et le leader de l'opposition au gouvernement de la Défense nationale qu'il tenta de renverser à plusieurs reprises pour lui substituer la Commune.