La grande primatologue Jane Goodall lance un vibrant appel afin que nous nous reconnections à la nature. Si l’on veut arrêter la destruction, il faut commencer par aimer profondément ce que l’on défend. Elle présente dans son nouvel ouvrage illustré une étude personnelle très complète des enjeux de la mondialisation qui menacent les graines, les sols, les plantes et les productions vivrières. Si elle pointe du doigt les dégâts, elle met aussi l’accent sur les avancées dans ce domaine, en particulier les multiples actions où la responsabilité sociale côtoie la protection du monde des plantes. Jane Goodall est l’une des invités officiels de la cop21, la Conférence des Nations unies sur les changements climatiques (Paris, 30 nov–11 déc. 2015). Elle fait déjà l’objet d’une attention particulière des médias.
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