Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Ce livre raconte « une merveilleuse histoire d’amour » : celle de François Mauriac pour une maison, un domaine, un paysage et, au-delà, une terre, la Guyenne, qui restera jusqu’au bout l’une des principales sources de son inspiration poétique et romanesque.
Havre de paix et de méditation, Malagar a été pour lui, comme l’écrit son fils Jean, le lieu de « l’immersion », où « toute lutte, tout parti pris, tout combat spirituel, toute indignation s’anéantissaient ». Un lieu de vie et d’écriture où Mauriac pouvait s’adonner sans réserve à son amour du silence et de la nature et renouer avec les horizons, les odeurs et les fantômes de son enfance. Tout séjour à Malagar était pour lui un enchantement, fait de nostalgie et de communion avec les souvenirs de sa jeunesse.
Né paysan, François Mauriac aimait d’autant plus sa vieille maison de Malagar qu’elle servit de cadre à quelques-uns de ses romans dont Le Nœud de vipères. C’est là également qu’il rédigea bon nombre de ses Bloc-Notes, au plus près de son univers préféré, entre vignes et landes.
Avec une émotion et une tendresse souvent bouleversantes, Jean Mauriac évoque ici la figure d’un père qui, souvent lointain et distant à Paris, redevenait à Malagar plus proche des siens et complice de ses enfants. Il nous fait partager les rites et les bonheurs d’une vie de famille, mais aussi ses drames et ses secrets. Il y exprime enfin sa propre passion pour un lieu qui, aujourd’hui légué à la région Aquitaine, appartient désormais au seul patrimoine littéraire.