«On n'a plus eu de ses nouvelles depuis ce temps-là, et
voilà comment je suis demeuré fils unique», écrit dans ses
Confessions Jean-Jacques Rousseau en évoquant son frère aîné,
ce François Rousseau contraint de quitter Genève où les
choses pour lui avaient mal tourné.
Jean-Jacques tenait François pour un polisson et un libertin.
Ce dernier apparemment ne l'a jamais démenti, qui n'a pas
jugé nécessaire de nous laisser récit de sa vie.
Il m'a semblé intéressant de remédier à cette négligence.
S. A.
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