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Famille, familles, est le premier recueil publié par Lucette Desvignes, dont on connaît bien les romans. Ces six nouvelles dont certaines sont assez longues ont pour thème commun les relations familiales, et leur lot de silences, de rancœur, de haine familière, au milieu desquels surgit is, comme pour racheter la bassesse, un éclair de tendresse. Il est particulièrment inattendu entre la grand-mère et la petite-fille de « Pousse-café », que la misère sépare avant d’opposer silencieusement ! Il ne saurait venir que de l’extérieur parmi ces sœurs célibataires vieillissant ensemble dans l’aigreur et les rétorsions s’abattant sur l’une d’entre elles dans leurs « Affaires de famille ». Mais il arrive que le protagoniste y reste sourd, comme cette mère ruminant la pensée de son fils enfui, dans « L’écluse », ou cette famille relèguant progressivement la grand-mère paralysée en marge de la vie, dans « La scolopendre ». Le pessimisme constant de la peinture des petitesses familiales n’exclut cependant ni la truculence dans « Le privilège », mais c’est alors pour accentuer le malaise du fils soumis au stratagème du père pour sauvegarder le privilège de bouilleur de cru, ni le cocasse par une utilisation bien particulière des techniques de la génétique moderne, mais pour une « Consultalion » qui illustre de façon grinçante une certaine médiocrité paysanne.