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À la fin du XXe siècle, de nombreuses crises de nature épidémique se sont enchaînées. La sécurité sanitaire est devenue un enjeu international réclamant une approche mondiale. L’épidémie de sida avait sonné l’alerte au début des années 1980. À la suite de la maladie de la vache folle au début des années 1990, puis de l’épidémie liée au SRAS et des attaques bioterroristes au début des années 2000, le risque infectieux épidémique a semblé prendre une allure de plus en plus inquiétante. Le Pr Didier Houssin a été au cœur de cet enchaînement, en particulier au moment de l’épidémie de chikungunya à La Réunion, de la grippe aviaire, puis de la pandémie grippale de 2009. Soucieux d’en tirer les leçons pour la sécurité future des populations, il en retrace ici les temps forts et dresse le bilan des réponses qui ont été apportées. La pandémie de 2009, marquée par une bonne dose de chance pour l’espèce humaine, ne doit pas susciter l’inaction et ainsi se transformer en piège. Elle doit, au contraire, être l’occasion de prolonger l’effort de préparation, dans l’éventualité d’un phénomène épidémique plus grave. Comme professeur de chirurgie à l’université Paris-Descartes, comme chirurgien et chef de service à l’hôpital Cochin, Didier Houssin a contribué au développement de la greffe du foie, en particulier chez l’enfant. Il a ensuite dirigé l’Établissement français des greffes, a été directeur de la politique médicale de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris, puis directeur général de la Santé de 2005 à 2011. Il est aujourd’hui conseiller de l’Organisation mondiale de la santé.