Góngora nous transporte dans cette songerie charnelle et vivante,
cette «extra-atmosphère» que respira le solaire Lorca, parmi sa
lumière stable qui s'adoucit pourtant aux creux ombrés des grottes
fraîches, au bord des ruisseaux, sur les lits de feuillage où de jeunes
êtres s'enchantent de leur belle nudité, sur les versants des collines
ou paissent les troupeaux du berger monstrueux, mais émouvant
tant par les musiques sauvages qu'il tire de ses pipeaux que par le
naïf orgueil qu'il tire de lui-même.
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