Je sous-titre cet ouvrage Apoème.
Un hommage à Henri Pichette Nucléa, pièce de théâtre atomique... Un coup de gueule...
Dans « L'extrême limite », la politique de ce « toujours plus », les indispensables progrès peuvent t-ils nous gouverner ?
Paul de Brancion... nous en parle.
Le partage au profit de l'IA..., des services proposés-imposés de nos machines font de nous des sujets. Un oxymore, l'infini-éternel progrès existe-il ?
Ma typographie des versets se ponctue par le signe ∞ ce qui implique une lecture plus attentive, plus syllabique, une lecture interprétée.
Ce signe « infini » n'existe pas sans inverser nos repères ; Moebius me suggère de penser le temps se substituant à la particule de lumière. Cela est hors de mon entendement tant les déchets du progrès me perturbent et, de plus, que les épaves satellitaires ne seront pas colonisées par les coquillages marins.
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