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Steven Moore a dix-sept ans quand il s’engage dans la Garde nationale de l’Iowa, l’unité militaire de réserve américaine. Six ans plus tard, en 2010, le lycéen devenu étudiant en littérature à l’université de l’Iowa est déployé en Afghanistan, au poste frontière de Torkham avec le Pakistan, puis dans une vallée reculée des montagnes de l’Hindu Kush, à quatre-vingt kilomètres du dangereux Korengal. Dans Et plus on restait là-bas, Steven Moore raconte cette longue mission, interroge les récits que font naître les guerres et la nécessité d’exprimer ce qu’on y a vécu, quand on est resté là-bas si longtemps. Pendant ses sept années passées dans l’armée, Moore, chef d’équipe, va apprendre à être un soldat-citoyen. Entre 2004 et 2011, il alternera cours à l’université et entraînement au centre de la Garde nationale, intervenant en opération lors des terribles inondations qui ravagèrent l’Iowa en 2008, puis ce sera l’Afghanistan. Comment réconcilier la vie civile et la vie militaire ? Comment vivre dans cet entre-deux, en étant à la fois soldat et étudiant, et se forger une identité qui permette de vivre ces contraires ? Et plus on restait là-bas est un récit haletant, fin, original, qui va à l’encontre des images que l’on se fait des soldats et de leurs combats ; c’est une réflexion de premier plan sur la responsabilité de l’écrivain de guerre.