Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
La question du pouvoir dans les conduites humaines, l’exacerbation de la possessivité jusqu’à la violence la plus destructrice, sont une source permanente de préoccupations ; pourtant le sujet est délaissé par la théorie psychanalytique. Freud avait introduit la notion de « pulsion d’emprise » qui promettait d’en rendre compte mais qui n’a pas donné tous les développements auxquels il l’avait promise, et il l’a lui-même abandonnée. Rendre compte des forces d’emprise s’avère cependant essentiel pour la théorie psychanalytique. Mais peut-on séparer pouvoir et sexualité ? La pulsion, véhicule psychique de la sexualité, peut-elle s’envisager indépendamment de ce qui la met en œuvre par rapport aux autres individus ? L’analyse des conduites d’emprise oblige à réinterroger la notion même de pulsion et à en proposer un modèle nouveau. Née dans l’histoire des premières relations, la pulsion se forme de la combinaison de deux courants d’investissements « en emprise » et « en satisfaction », lesquels conduisent une charge libidinale qui varie selon les moments et l’état fonctionnel du psychisme ; le déséquilibre entre ces forces qui composent la pulsion entraîne la défaite de l’esprit.