Eloge de l'impertinence car l'auteur préconise de ne plus accepter le stupidité, l'incompétence, la futilité.
Ils se nomment Peter, Hull, Parkinson, Milgram ou Cipolla et chacun à sa manière a cherché à nous convaincre d'une évidence : l'incompétence nuit gravement à l'esprit d'entreprendre.
Ce petit ouvrage n'a aucune prétention et bien sûr ces « lois de sociologie » n'ont rien d'une loi. Rédigées sur un ton faussement académique, elles n'ont qu'une ambition : nous interpeller et obtenir que nous brisions ce plafond de verre.
Car soyons francs, personne n'accepte l'incompétence, la stupidité ou de côtoyer des imbéciles, mais de façon paradoxale nous les acceptons quand même dans nos organisations en souffrant en silence de leurs agissements.
Certains attendront à l'issue de leur lecture le conseil de management.
Il est inutile.
Non pas que la marche soit trop haute ou la tâche trop ardue. C'est même tout le contraire. La solution est à portée de main.
Promoveatur ut amoveatur
qu'il soit promu pour qu'on s'en débarrasse.
disaient les sénateurs romains. C'est l'une des solutions mais bien sûr il y en a d'autres. Nous vous laissons les découvrir.
La forme la plus simple de la stupidité consiste à oublier ce que nous nous efforçons d'accomplir
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