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Cet ouvrage repère, de façon critique, un certain nombre de discours qui ont marqué l'histoire de l'éducation permanente. Il présente un panorama structuré et ouvert des écrits des promoteurs, des critiques actuelles, et des pistes de développement possibles. Archétype éducatif, la formation permanente se retrouve dans l'imaginaire de la plupart des formations sociales, anciennes ou modernes, occidentales ou non occidentales. Son esquisse a, longtemps, été l'œuvre de philosophes, qui la voyaient comme un moyen de construire la cité parfaite, "la société éducative". Dans les années 1950-1970, les formateurs d'adultes ont repris le terme, pour situer leurs pratiques dans un champ plus large que le champ strictement scolaire. L'éducation permanente s'est développée, principalement en Europe et en Amérique du Nord. Au début des années soixante-dix, les appareils d'État, nationaux et internationaux, ont adopté l'expression ; ils ont fait, de l'éducation permanente, une idéologie éducative et ont entrepris son institutionnalisation. Cette institutionnalisation entraîne-t-elle sa bureaucratisation ? Ou, au contraire, permet-elle un traitement et un engagement plus lucides ? Éducation ou aliénation permanente ? La question s'impose. Pas la réponse.