Un roman historique et fantaisiste qui met la "première" des Écrins à rude épreuve, l'Histoire sens dessus dessous, et tient le lecteur en haleine.
Il aura suffi d'un pique-nique improvisé au pied de la muraille de la Pointe des Arsines (les Écrins), au lieu-dit "Les Balmes de François Blanc", associant deux gentlemen écrivains – Pierre Charmoz et Jean-Louis Lejonc –, et la découverte fortuite, non loin du lieu des agapes, de quelques ossements, de lambeaux de vêtements et d'une antique sacoche contenant un carnet dûment annoté, pour que le doute s'installe : Whymper, Moore, Walker et leurs guides Croz et Almer sont-ils bien les premiers à avoir foulé le sommet des Écrins ?
Doute qui devient certitude une fois connu le contenu du carnet : le chevalier Dupin, guidé par de solides autochtones, y relate son ascension de la Barre des Écrins.
Ils y parviennent avant les Anglais. Pourtant, l'histoire n'a retenu que la première de Whymper et consorts. Lejonc et Charmoz n'en ont cure.
S'appuyant sur le récit de Dupin et le témoignage, ô combien précieux, du jeune Sherlock Holmes, alors âgé de 14 ans, et présent sur la face nord des Écrins ce 24 juin 1864, nos deux révisionnistes mettent à mal la version officielle.
Écrins fatals, l'ouvrage que nos auteurs ont tiré de cette enquête, est tout entier consacré au rétablissement de la vérité des faits. On dit que la vérité n'a pas de prix : le talent de Pierre Charmoz et Jean-Louis Lejonc non plus. Et la fantaisie encore moins.
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