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« — Tu es bien de Plouzévédé, François, ricana le plus petit des deux matelots, l’air d’un vrai plouc avec cette mousmé sous le bras. Quand je pense qu’avec le même nombre de points, tu pouvais emporter une bouteille de mousseux. Qu’est-ce que je dis une, deux peut-être. — De la pisse d’âne, rétorqua l’autre, avec l’accent rocailleux des Côtes-du-Nord. — Et alors ? Ça se laisse boire quand même, non ? Alors que tu es bien avancé d’avoir choisi cette poupée, sacré Mao (1). — Et si j’ai l’intention d’en faire cadeau à quelqu’un ? — À qui ? — Ça te regarde ? Son compagnon haussa les épaules ; tandis que François Riou couvait d’un œil tendre la marquise blonde en robe à paniers de satin bleu ciel qu’il serrait contre lui. Il était très grand, large d’épaules et avançait avec la démarche lente d’un bœuf de labour. À son côté, le second marin tanguait un peu... 1 Mao : breton. »