Ecoutons Horváth parler de sa pièce : « Je me suis autorisé à peindre un Don Juan de notre époque, celle de la grande période de l'inflation 1919-1923, à un moment donc où au sens le plus banal du terme - toutes les valeurs ont été bousculées. Chaque individu change en son for intérieur, suite aux catastrophes qui adviennent à l'ensemble des gens. Ainsi don Juan lui aussi revient de guerre et croit être devenu un autre. Il restera pourtant celui qu'il était. Il ne peut pas faire autrement. Il n'échappera pas aux femmes. Il est le grand séducteur toujours séduit par les femmes. Toutes lui succombent, mais - et c'est peut-être là l'essentiel - il n'est aimé d'aucune. C'est pourquoi cette pièce ne contient aucune scène d'amour. »
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