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Telle qu'elle se structure entre Antiquité tardive et haut Moyen Âge, la religion chrétienne ne faisait pas la part belle aux femmes : assimilées à Ève, l'alliée du Serpent, elles étaient exclues du sacerdoce et cantonnées dans une position mineure au sein de l'Église. Pourquoi, à la fin du Moyen Âge, la religion s'est-elle féminisée, par une adhésion plus forte des femmes à la foi et à la pratique, par une féminisation du discours religieux, par une alliance ambiguë du prêtre et de la femme communiant dans une religion de la Mère et du Fils ? Pourquoi, selon l'audacieuse expression de Michelet, Dieu a-t-il changé de sexe, pour ainsi dire ? C'est à cette question que veut répondre le livre de Jacques Dalarun, directeur de recherche au CNRS (Institut de recherche et d'histoire des textes). L'ouvrage regroupe douze études de cas exemplaires, réparties en trois grands moments historiques, qui entraînent le lecteur de la France à l'Italie et du xi e au xv e siècle.