« Maender-Alkoor...
Tout commença à Maender-Alkoor... »
Dies iroe, dies illa, solvet soeclum in favílla... (Jour de colère que ce jour-là où le monde sera réduit en cendres...)
Cet apocalyptique et lyrique poème ajoute à ce récit un épique anathème !
Dans le Gouffre oublié, une magie mystique attend que l'on s'applique à la voir s'éveiller. Si les aventuriers pressentent une déroute, ils ne présagent en rien de l'impact de leurs doutes : détenir une clé magiquement chargée ouvre une infinité de possibilités mais lorsque l'on n'a point le fin mot d'un rouage, mieux vaut être aux aguets de son réel usage...
Tuba mirum spargens sonum (La trompette répand étonnamment ses sons)
Le pire est évoqué dans tout Maender-Alkoor, au son d'une trompette qui annonce la Mort... Un fléau se déclenche, une vague s'étend, une armée se renforce et le Mal se répand. Une porte s'entrouvre avant d'être scellée, à l'image du sort de nos héros piégés...
Liber scriptus proferetur, in quo totum continetur, unde Mundus judicetur. (Un livre écrit sera produit, dans lequel tout sera contenu, d'après quoi le Monde sera jugé)
Le Grimoire révèle au devin ses Secrets mais le berceau des maux est déjà activé... Se vérifient alors les paroles d'un sage lequel délivre « qu'un Peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre... »
« Bien étrange est le rôle que l'on m'a dévolu... Je suis un omniscient dépourvu d'attributs... Viens à moi, ma faconde ! Narrons ou bien narguons les grandes destinées qui oeuvrent en ce monde ! »
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