Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
NOUVELLE EDITION"Les intellectuels français sont d'une exemplaire sagesse et taillés dans un bois dont on fait les chaises longues."(Jean Schuster, revue Le 14 juillet)" Les intellectuels français sont d'une exemplaire sagesse et taillés dans un bois dont on fait les chaises longues. " (Jean Schuster, revue Le 14 juillet) " Surréaliste ! " Tel est l'adjectif qu'emploient le plus souvent, aujourd'hui, journalistes et hommes politiques pour qualifier un événement ou une idée qui dépassent leur entendement. Au-delà d'un mot tombé dans le domaine public et des gloses universitaires, il était utile de revenir à l'essentiel, c'est-à-dire aux textes eux-mêmes. Surréalistes et dadaïstes écrivaient comme ils giflaient les importuns qui s'interposaient entre eux et la vie. Leurs cibles sont toujours, hélas, d'une affligeante actualité : l'ordre, l'État, les religions, l'armée, la police, la laideur, la loi de l'argent... Plus de mille citations de cent vingt écrivains, tant français qu'étrangers, prouvent que les années n'ont pas eu de prise sur l'esprit surréaliste et dadaïste. Impertinence, provocation, autodérision et humour noir soufflent dans ces lignes qui sonnent comme un indispensable rappel au désordre.