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Qui se cache derrière le « Je » de ce journal intime ? Un jeune hacker talentueux en quête d’engagement, dans une France décharnée qui vient de déclarer la guerre au califat. Par désespoir amoureux, il décide de rejoindre l’armée. On lui confie aussitôt la programmation des drones qui survolent nos confl its, les ratissant « cliniquement ». Envoyé en mission sur une base militaire du Proche-Orient, il découvre alors de jeunes soldats à la ferveur broyée par l’inaction. Les drones mènent désormais la guerre à leur place. « Je », ostracisé, pianote à l’infini la défense d’un pays qui déshumanise le combat pour mieux tuer. En nous plongeant dans un futur si proche qu’il nous ressemble et dans les entrailles d’une jeunesse aux causes floutées, Boris Bergmann nous livre un roman aussi dompté qu’agile. Une lecture ardente servie par un style vif et ingénieux qui nous transporte dans une fascinante expérience de terrain où le sol ne fait que se dérober. À propos de Viens là que je te tue ma belle : « La critique littéraire lui décerne un 18/20. » Frédéric Beigbeder, Playboy « Il a failli ravir le prix de Flore à Amélie Nothomb. La révélationlittéraire de cette rentrée, à défaut d’une fin de siècle. » Philippe Combres, Double « Avec son style choc et épuré, Boris Bergmann fait jaillir desétincelles de poésie, presque de maturité. » Julia Cerrone, Paris Match