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Les arnaques à la carte bleue, on commence à les connaître, à la Grande Cabane. Le collé marseillais, le miroir de Montpellier, la caméra des Ardennes, la touchette bordelaise, le recto de Clermont, la vire-volte toulousaine, la glu du Gévaudan, la pincette bayonnaise, le photocopié de Lille et le braqué à la niçoise, ont été répertoriés et éventés. Seulement, que tu le veuilles ou non, les truands rivalisent d’ingéniosité. Ils possèdent souvent un coup d’avance sur nous, les poulets. Figure-toi qu’un mariole vient de mettre au point l’« égorgé de Saint-Marcel ». Sa technique est simple, primaire, presque primate. Affublé d’un masque de singe, il surgit derrière ses victimes plantées face à un distribanque. Il leur ordonne de composer leur code, il vide leur compte de ses liquidités, et puis leurs carotides jusqu’à la dernière goutte de sang. Les caméras de surveillance n’ont pu enregistrer qu’un faciès de gorille, et les micros tout juste quelques éructements. Et question ADN, macache ! Depuis, le meurtrier multiplie les agressions sanguinaires. Six femmes sont déjà mortes, égorgées au pied d’un guichet automatique. Mais le tueur vient, semble-t-il, de commettre sa première erreur : un achat sur internet avec la carte bleue de sa dernière victime. Alors on se lance sur sa trace, le gars Béru et ma pomme. Et on finit par le coincer sur un chantier. Au moment où on va l’alpaguer, le type réussit à piquer la perceuse d’un ouvrier et à se perforer la tempe. Un vrai suicide de bricoleur ! Le criminel s’est dézingué. L’action de la justice est donc éteinte. L’histoire semble terminée. Eh bien, non ! Elle ne fait que commencer... Et tu vas piger que l’espression « en voir des vertes et des pas mûres » semble avoir été taillée sur mesures pour ton San-Antonio préféré !