Un roman d’amour à la japonaise : la lumière comme métaphore de la solitude. Le métier de correctrice comme métaphore du langage, de l’expression de soi et d’une attitude devant la vie qui s’interdit de lire ce qu’on corrige… Après le succès de son roman Seins et œufs, Mieko Kawakami s’attache ici encore à la condition féminine dans une société japonaise où le travail où le travail semble être la seule voie pour exprimer sa personnalité.
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