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La voisine est partie durant la nuit. Elle a glissé de l’autre côté sans faire de bruit. Julie n’y peut rien, ne peut que nourrir ses mésanges. Mais dans sa gorge enfle une boule dure : le deuil d’un vieil ami, qu’elle n’a pas su accomplir. Comment arriveras-tu à respirer s’il se tait en toi? Pourtant, il doit être possible de réussir cette traversée.
Si la poésie lui a offert les mots pour habiller la mort, c’est en s’immergeant dans le réel, en «bénévolant» auprès des pensionnaires d’une maison de soins palliatifs, que Julie ressentira dans ses os une voie possible : faire son deuil, c’est mettre son mort quelque part qui ne soit pas partout.
Un kaléidoscope de portraits colorés nous donne à voir ces gens qu’elle côtoie pendant un court laps de temps. Car, à l’évidence, quand on arrive à la maison Le Vitrail, on vit très fort, mais plus très longtemps. On vit des jours marquants, d’une grande richesse. Rien n’est en effet plus précieux que ce qui va cesser.