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Le préfet Callard ne vit plus depuis l’annonce du débarquement des forces alliées en Normandie. Il sait qu’en Périgord les heures de l’occupant sont comptées et que le surcroît de violence à laquelle se livrent les Allemands ne fait que différer la déroute. Comment faire oublier son rôle dans l’arrestation de Robert Mathé, devenu une légende vivante dans la Résistance ? Callard sait les difficultés que rencontrent les maquis pour s’approvisionner et soutenir les familles des partisans. La Banque de France organise un convoi de ses fonds vers Bordeaux. Il livre l’information aux FFI. Leurs chefs décident de diriger une attaque risquée en gare de Neuvic. Plusieurs maquis sont mobilisés, dont celui que viennent de rallier Joseph, l’instituteur pondéré, que hantent la peur d’être lâche et la conscience de s’être engagé trop tard, et Marsou, un réfugié alsacien qui dissimule la sensibilité de sa jeunesse sous une audace de bon aloi… Marsou vient de tomber amoureux de Marianne sans savoir qu’elle est une des messagères de la Résistance. De son côté, Jeannette, l’épouse de Joseph, vit dans l’angoisse de représailles sur sa famille.
Pour nous raconter le roman vrai du plus grand casse de tous les temps, Hervé Brunaux s’est fait enquêteur, a rencontré des survivants, des historiens. Il restitue la complexité d’une époque où un rien pouvait faire basculer une vie.