Rien n'est trop humble. Rien n'est trop vide. Il faut
de l'espace à l'homme comme à l'animal et à la plante. C'est
dans cet espace que l'envol et la méditation peuvent prendre
naissance.
Par cette méditation sur les animaux
dans l'art japonais tout émaillée de haïkus, Diane
de Margerie écrit la vie dans son mouvement :
la grenouille insolente qui plonge, la luciole qui
traverse la nuit, le vol délicat et fragile du papillon
ou le chant des oiseaux liés au passage des saisons.
Tous incarnent le sentiment de l'éphémère et de
l'insaisissable, de ce qui aurait pu durer mais qui
déjà n'est plus.
Et pourtant, et pourtant...
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