Conclusion de la monumentale «Trilogie triestine» du grand
romancier slovène, ouverte avec Printemps difficile et poursuivie avec
Jours obscurs... Où l'on chemine une dernière fois en compagnie de
Radko Suban, dont le destin aura été brisé par la guerre, et qui
retrouve enfin sa ville après l'épreuve de la déportation et des camps de
la Mort.
Retour à la paix ? Si l'on veut... à moins que ce que nous nommons
ainsi n'ait fini par devenir une autre forme de guerre, la plus sournoise
de toutes : celle qui refuse de dire son nom.
Pahor, né à Trieste en 1913 (où il vit toujours), n'a jamais été bien
optimiste. Lui reste malgré tout - et nous reste avec lui - cette dernière
liberté, la seule peut-être qui compte : celle de tenter de voir clair
quand l'ombre gagne.
«Qui connaît Boris Pahor ?... éblouissant écrivain dont on découvre
enfin ce roman poignant : Printemps difficile... Un chef-d'oeuvre.»
Jean-Luc Douin/Télérama
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