Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Danger : religion ! Attention : une Église peut en cacher une autre. L’esclave juché sur le toit du taxi aperçut le revolver de Rastell. Son visage se décomposa ; il sauta à terre et rejoignit ses camarades terrorisés, qui ne songeaient plus qu’à s’enfuir. Rastell ne tira pas. Une voiture qui dévalait la pente en trombe, sirène hurlante, vint piler entre lui et le taxi. Quatre hommes vêtus de noir, épée et revolver au poing, en descendirent. Sur le toit, un signal clignotant indiquait : POLICE ECCLÉSIASTIQUE. THOMAS LE PROCLAMATEUR Le jour où la Terre s’arrêta les prophètes surgirent... C’était le Jour du Signe qui annonça l’Apocalypse. Du fond du Nevada, Thomas le Hirsute, Thomas le Proclamateur s’était dressé au-dessus des machines à sous pour crier : “Il n’est pas trop tard.” C’était le nouvel Apôtre de la paix. Digne prophète de notre temps : crasseux, cynique, un véritable sac à vin. Thomas, l’ex-soldat qui avait napalmé au Brésil, le dealer, le pickpocket, l’escroc sur ordinateur. Il se présentait maintenant comme une vivante incarnation de la rédemption : “Regardez-moi ! Si, moi, le Seigneur m’a sauvé du péché, n’y a-t-il pas de l’espoir pour tous ?” Les médias s’étaient aussitôt emparés de lui.