Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
changer en muances les nuances le troc lettre contre lettre sous le choc
aimanter les contraires
les coupes sombres en sous-bois contiennent le désastreCoupes sombres coupes claires, s'agirait-il de l'analyse fine des plans intimes de la matière jouant sur la vitesse et la précision de l'observation ? Ce n'est pas exactement cela que recherche Christian Cavaillé, mais le moment précis où l'ivresse des lettres les engage dans le rythme et la réversibilité du sens. Une mise en relief et en danger de la parole qui tantôt se déploie et lape la lumière et tantôt se replie dans les encoignures qui génèrent le souffle et de là les accords. Il y a dans cette écriture le désir de rompre le phrasé et regagner une sorte d'impulsion et d'intelligence du récit poétique. Faire sourdre un chant polyphonique qui a traversé les rugosités de l'esprit et ses éclats. Il faut être absolument moderne lançait Rimbaud comme une provocation à l'engourdissement. Christian Cavaillé rebondit sur cette quête qui n'a rien à voir avec les artifices de la modernité mercantile mais avec la vibration des mots qui tentent de se libérer de leur lanière. Michel Cassir