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Dans l’immense continent des correspondances de François Truffaut, plus le réalisateur se dévoile, plus le mystère de l’homme demeure, et sa pudeur, voire sa mélancolie. Depuis sa lettre de jeune critique à Abel Gance en 1954 jusqu’à sa disparition prématurée en 1984, ce sont ici trente années d’échanges avec les grands anciens (Ophuls, Clouzot…), ses confrères de la Nouvelle Vague (Rivette, Rohmer, Godard…), ses contemporains (de Paula Delsol à Bertrand Tavernier, de Kubrick à Wenders, d’Agnès Varda à Marcel Ophuls…) et ces jeunes talents qu’il prend le temps de conseiller entre les voyages et les tournages. Autant d’éclats sur cette passion vive qui anime Truffaut depuis l’enfance et ses Quatre Cents Coups, les coulisses de la création et de toute une époque, les amitiés et les filiations, comme en témoigne cette relation forte et singulière qui le lie à ses deux maîtres Hitchcock et Renoir. ' Maintenant que j’arrive à la fin du voyage, lui confie celui-ci quelques mois avant sa mort, voilà que vous apparaissez […]. C’est comme un petit adieu sur un quai de gare… ' Admirateur inconditionnel d’Hitchcock, le 2 juin 1962, Truffaut lui fait part d’un projet : ces entretiens qui composeront l’un des plus grands ouvrages consacrés au septième art, et dont il présentera l’édition définitive à Apostrophes, le 13 avril 1984, lors de sa dernière apparition publique. Quelques jours plus tard, il recevra ce petit mot de l’ami Chabrol : "Quelle joie de te voir en forme comme avant, superbe et généreux ! La camarde s’est enfuie..."