Meurtrier malgré lui, Jean Dimare fuit Marseille
pour le Brésil. Il s'invente un passé,
prend le nom de João Domar et découvre,
émerveillé, ce pays jeune et foisonnant.
Plein de fougue et d'ambition, il grimpe jusqu'au
sommet de ses rêves en devenant tour
à tour chef de gang, trafiquant d'alcool,
maquereau... Seule sa participation à l'édification
du Christ au sommet du Corcovado
pourra le mettre sur la voie de la rédemption.
«Aux comptoirs des bars et jusque
dans l'odeur de sexe qui flottait
dans les lupanars, il se sentait
enfin homme, enfin carioca.»
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