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Un débat droite-gauche, à un an de la présidentielle, sur l'université, la recherche, l'emploi... Et donc l'avenir de la France. De prime abord, tout sépare les deux auteurs : leur formation, leur parcours, leur famille politique, leur expérience professionnelle, leurs fonctions actuelles et plus de vingt ans d'âge... L'une est de droite, l'autre de gauche. Pourtant, ils ont au moins un point commun : leur passion pour l'université. En tant que ministre de la Recherche et de l'Enseignement supérieur, Valérie Pécresse s'est attelée à une réforme à haut risque qu'elle entend, contre vents et marées, mener à son terme. En tant que président de l'université Paris-Descartes, Axel Kahn se place à la pointe de la mise en œuvre de cette réforme qu'il approuve dans sa philosophie tout en en contestant certains aspects et certaines méthodes. C'est à un dialogue parfois vif que nous invite ainsi cet ouvrage, où plusieurs sujets de fond sont abordés : réformes, diplômes, emplois, révoltes, recherche... En cette période où la notion de progrès est souvent attaquée, ces deux responsables s'interrogent sur l'avenir de nos enfants, à travers l'éducation poussée qui pourra leur être donnée... ou non. Et s'affrontent sur certains objectifs de cette éducation. " N'oublions pas l'humanisme ", dit Axel Kahn. " N'oublions pas la nécessité d'allier connaissance et croissance, invention et innovation pour nos entreprises ", dit Valérie Pécresse. S'ils se rejoignent sur l'absolue nécessité de garantir la bonne santé des universités et " éviter la fuite des cerveaux ", ils n'ont pas forcément les mêmes priorités : " La question de savoir quelles seront les utilisations des moyens conquis par la raison humaine est majeure ", insiste ainsi Axel Kahn lorsque la ministre, se situant dans une tradition gaulliste, rappelle que " 22 milliards d'euros sont investis pour développer l'emploi et pour des raisons économiques ". Éthique et politique au cœur des bouleversements économiques et de la mondialisation.