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« Le Camp littéraire Félix souhaitait depuis longtemps offrir un atelier à des écrivains établis et reconnus. L’idée du carnet a surgi. Et le nom de Robert Lalonde s’est imposé comme animateur. Et voici le résultat : une nouvelle collection chez Lévesque éditeur, “Carnets d’écrivains”, un collectif avec cinq voix qui n’en font qu’une et plusieurs autres publications à venir. » (Yvon Paré, président du Camp littéraire Félix)
« Qu’est-ce qu’un carnet littéraire ? C’est peut-être avant tout une sorte de repos de l’écriture de fiction. Le carnet commence en effet souvent au moment où l’écrivain lève la tête de son manuscrit rebelle et se met à considérer ce qui l’entoure. Alors surgit, depuis toujours ajourné, le vieux rêve d’une autre approche, débarrassée du devoir de sens et de logique romanesque, le besoin d’un langage neuf, vagabond, exploratoire, libre.
Et c’est parti ! Le romancier est irrépressiblement pris par sa tentative hasardeuse, neuve, enthousiasmante de saisir le réel qui le submerge, le comment et le pourquoi de telle obsession, de tel attrait, soudainement happé par les mots d’un autre, par les images d’un autre encore, par la stupéfiante beauté d’un paysage, par une phrase d’un livre qu’il croyait avoir oubliée, par cette carte géographique d’un pays où il a toujours voulu mais n’a jamais pu se rendre, par telle photographie, tel souvenir, tel projet abandonné sans raison valable.
Cinq écrivains, ici, font entendre leur voix d’excursionnistes, de randonneurs – je dis bien leur voix, car le carnet est d’abord une voix, un ton, une manière bien à soi de dire ce qu’on a vu, lu, entendu. Laissons-les bénévolement nous rameuter vers l’instant qui compte, le seul instant, celui où le monde, soudain, devient visible. » (Extraits de la présentation de Robert Lalonde)