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Anaïs enfile son peignoir, fait un nœud lâche à la ceinture et quitte sa chambre, pieds nus. Elle se lavera plus tard. Oui, plus tard... comme on passe un coup de balai dans la boutique après l'heure de la fermeture. Si elle se regardait dans le miroir, elle ne verrait maintenant, à la place du visage, qu'un plancher poussiéreux. Le barman est dans la cuisine, assis devant son bol de café, mais déjà rasé de près, habillé comme pour partir au travail. Anaïs ne l'a jamais vu qu'ainsi, en cravate, le visage propre et lisse, prêt à vous servir votre consommation. Elle ne peut pas l'imaginer nu, ou même en manches de chemise. Ajoutons quelques accessoires au décor : un cadavre, une grosse cylindrée, un policier blasé, un journaliste en mal de faits divers : il en résulte un huis clos diabolique, palpitant jusqu'à la dernière page, jusqu'au dernier rebondissement, à la fois inéluctable et totalement surprenant.