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Feld-maréchal, septième prince du nom, Charles-Joseph de Ligne (1735-1814) exerça une véritable fascination sur ses contemporains. Ce volume, auquel ont contribué des spécialistes issus de plusieurs disciplines, entend rompre avec la représentation figée d’un homme et d’une œuvre trop longtemps méconnus.
Dans un volume documenté et interdisciplinaire, les éditions de l'ULB vous proposent une mise à jour de la représentation d'un homme admiré par ses contemporains.
EXTRAIT de Les humeurs noires du prince rose de Manuel Couvreur
En 1811, arrivé « dans l’hiver à force de printemps », Ligne écrit : « Il n’y a que les gens qui savent rire, qui sachent pleurer ». La proposition inverse paraîtrait pourtant plus juste pour évoquer la personnalité de son auteur, même si, à l’ordinaire et en parfait homme de cour, le prince a mis le ris avant les larmes : mais ne serait-ce pas parce que son tempérament l’aurait précisément porté à la mélancolie que Ligne aurait tendu à se forger une réputation de prince rose ? Telle sera notre hypothèse dans cette contribution qui confrontera l’image que Ligne s’est créée, à celle que se sont faite ses contemporains et la postérité. Une dimension biographique, certes et donc, mais qui privilégiera une approche de Ligne, comme auteur, comme être de papier qu’il ne nous est plus permis d’appréhender que par ses écrits : même si la dimension autobiographique y est centrale, elle ne peut obérer l’écart entre l’homme dans l’histoire et l’écrivain.