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Musil, Rousseau, Edgar Poe, Calderon, Joseph de Maistre, Kenzaburo Oé, un spectacle de danse, le Saint-Sacrement, Suétone... Que font-ils ensemble? Pas une histoire de la littérature. Des choses écrites. Quel est ce mélange de bibliothèques? Ce n’est pas celui d’idées, de poétiques, ou d’argumentations. Le résultat de ces jeux avec le temps et avec la vérité nous donne non des héros, des psychologies, des témoignages du temps mais ouvre des univers sans preuve. La littérature (roman, théâtre, poème) a construit des univers inhabitables ; elle a dû créer un monstre singulier comme leur destinataire ou leur expérimentateur : le lecteur. Peut-on autrement répondre à la question 'Qu’est-ce que la littérature?' dans sa version la plus brutale : 'À quoi ça sert?' Un temps sans contrôle, sans échéance, sans vérification réelle a donné naissance à des personnages, à des constructions d’univers. Sont-ils nos doubles errant dans toute l’histoire? Ils sont notre langage agissant par figures et par actions, hors d’atteinte de la loi : leurs mondes sont inachevés. Souffrance de Sigismond, un pas de danse, origine du langage chez Rousseau, fiction d’un corps médical, plaintes de Bérénice : ces mondes sont habités par un seul passager : le lecteur.